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maxime goldstyn
 née en 1994 à Montréal, QC ♠ vit et travaille à Montréal, QC

ÉDUCATION

2021

DESS en traduction à l’Université de Montréal

2020

Baccalauréat en Studio Arts à Concordia

EXPOSITIONS
2023

Phragmites, commissarié par Pénélope Bégin, Linda Zheng et Charles-Antoine Goulet, exposition extérieure de groupe, Boisé Steinberg, Montréal.

Projet Serrure, exposition collective éphémère, initiative d’Alex Guay, Montréal

2022
Juicebox,
Fresh Salad, exposition en ligne
2020

Throwing & Towing, Le Livart, Montréal
Finissage, commissarié par Maxime Goldstyn, Galerie Onze, Montréal
Pleasure Has No Form, commissarié par Philippe Bourdeau, Rad Hourani, MTL

2019

Girls in the Garage, Diving Bell Social Club, Montréal
2018

Dada Inc, Art souterrain 10ème édition, 1000 de la Gauchetière, Montréal
2017

Festival SOIR 2ème édition, rue Beaubien, Montréal
2016

Festival SOIR 1ère édition, rue Beaubien, Montréal

PUBLICATIONS
2023

BiWomen Quaterly, Bodily Autonomy, printemps 2023
2021

Revue ZINC, Spécial anxiété, numéro 52, p.98-101

2020
Magazine L’Organe, Entre quatre murs, mai 2020
2017

Le monde est fou, la Terre est ronde, zine publié par Arthur Michaud, éditions Passage
Secret

AUTRES IMPLICATIONS
2021

Conception de costume pour pochette d’album, Momo
2019

Hunger Paint 3ème édition, métro Beaubien, Montréal
Scénographie avec Pestacle pour Le Freak Show 3ème édition, Rivière-des-Prairies

2018

Scénographies pour Coup de cœur francophone au Ausgang Plaza, Montréal
Hunger Paint 2ème édition, métro Mont-Royal, Montréal

La soirée-bénéfice de la créativité, la Factry, Montréal
2017

Projet Ex, peinture en direct
2016

Conception du logo pour le festival SOIR

Maxime Goldstyn est une artiste interdisciplinaire basée à Montréal. Son travail conjugue peintures, dessins et installations sculpturales. Telle une brèche qui relie le tangible et l’imaginaire, son imagerie oscille entre l’étrange et le familier : les animaux se dévorent les uns les autres, les festins inspirent autant luxuriance que dégoût, les fleurs se décomposent; le tout sous l’œil ennuyé des personnages impassibles. On y dénote unetrame narrative, une histoire de fond, sans toutefois parvenir à la saisir.

 

Par le biais de la représentation, Goldstyn cherche à figer l’altérable, à résoudre les dualités qui l’habitent et à capturer l’essence des images volatiles. Son travail est dicté par une sensibilité émotionnelle et une mythologie personnelle qui établissent l’étrangeté comme état définitif de la condition humaine, animale et végétale. Inspirées par l’inquiétante étrangeté de l’expressionnisme allemand et le grotesque du Moyen-Âge, ses œuvres représentent des symboles évoquant des fantasmes réprimés et des cauchemars oubliés.

Maxime Goldstyn is an interdisciplinary artist based in Montréal. Their work combines painting, drawing, and sculptural installations. By interweaving the tangible and the eeriness, their imagery oscillates between strangeness and familiar: animals devour one another, feasts inspire delight as well as disgust, flowers are decomposing; all under the tired eye of the impassible characters. Each artwork depicts a narrative, an elusive background story that can be interpreted in many ways, but never fully seized.

 

Through representation, Goldstyn seeks to capture the essence of fleeting images, to resolve the dualities that inhabit their mind, and to perpetuate what is transient. Their work is dictated by an emotional sensibility and a personal mythology that establish uncanniness as the definite state of everything human, animal or vegetal. Inspired by the darkness of German Expressionism and the grotesque of medieval art, Goldstyn creates symbols evoking repressed fantasies and buried nightmares.

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